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mon site : très beaux textes merci

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l'être et le néant
--> l'épreuve....

« pfouuaaaa !!!! »

« Math ! j’vais te péter ta gueule » « ahah, essaye pour voir »

Là il m’a regardé  et il m’a foutu une baffe. HUMKCH !! Quel connard. Mais j’étais quand même mdr. Albatar ! (Je précise au passage que ce que j’appelle baffe, ne sont que vieilles tapes de pédale qui font pas mal, sinon j’lui en aurais retourné une au lieu de continuer à me marrer)

 

Sur ce, son père qui avait entendu le raffus a débarqué, peut être l’appel de la faim aussi. J’ai repris une contenance et une tète moins suspecte. Nico s’est mis à touiller ses nouilles et ils se sont installés à table. Moi qui avais du mal à me sentir bien dans cette pièce minuscule sans rien avoir à faire d’autre que de rester comme une conne au milieu et à gêner, je suis retournée dans le salon. Cinq minutes après, j’étais à fond dans sa basse, dans un trip total, je fermais les yeux pour me calmer, je l’imaginais torse nu en train de jouer.... et la j’sens un écouteur qui s’en va et sa voix « bah viens à table avec nous ? »

Soit....

Hum....

Je me suis assise sur une chaise en bout de table, ce qui n’était pas un bout de table d’ailleurs vu que la table était carrée et faisait cinquante centimètres sur cinquante. Autant dire j’avais l’impression d’avoir le nez dans leur assiette...moi qui déteste qu’on me regarde manger même a dix mètres j’étais limite mal a l’aise.

Mais quand j’y pense, me dire que j’étais assise là entre nico et son père, j’trouve ça carrément dément !

Alors pour avoir l’air moins gênante, même si j’avais rien demandé pour me retrouver là, j’ai gardé mon tel dans mes mains en dessous de la table, pour m’obliger à garder la tète baissée sans avoir l’air de me recueillir, et je t’ai envoyé un message ! D’où le « je le regarde manger » mdr !

Et puis, entre deux bouchées, son père s’est mis à me taper la discut. La c’est devenu plus convivial. J’ai même fini par me demander pourquoi ils s’entendaient si mal tout les deux.

Quand tu zieutes dans l’appart, t’as des photos de lui partout !!! Truc de taré ! Moi y’a pas de tof de moi, là on se croirait dans un temple dédié à lui. Ça va de l’age de quatre ans, aux tof d’identité de cette année.

Mais faut dire que même si son père lui parle bien, avec son caractère de rebelle, il doit franchement être relou ! Ça me fait marrer de soutenir son père ! d’ailleurs hier j’me disais quand je lui parlais, parce que là j’étais pépère, j’avais pas de compte à lui rendre, alors qu’en seconde je faisais ma petite fille polie pour qu’il m’apprécie, là j’avais pas besoin de me faire apprécier ! bah j’me suis dis que finalement, aussi chelou qu’il soit je kifferais le connaître ce bonhomme.

Bref. Je suis sortie de table, ça devenait limite surnaturel de faire pote avec le paternel. Et puis nico m’a pas retenu, il s’est levé direct en même temps que moi. On est relié par pupilles interposées. Donc pendant cinq minutes on s’est refait une fois le tout, j’ai repris trois fois, parce que être écoutée par son père ça me foutait la pression, comme si j’avais envie de lui prouver que j’étais une grande violoniste assortie comme une paire de chaussette à son géni de fils.

A chaque grésillement je plantais. Du coup j’ai tout remballé et comme il était l’heure on est descendu.

 

On est arrivé sur le parking, j’ai vu la voiture de ma mère, en arrivant devant la voiture, j’étais devant lui, g senti ma boite de violon glisser, il l’avait prise et il l’a rangé dans le coffre. Je pensais qu’on allait passer chez moi avant de partir. En fait, implicitement, je comptais lui montrer plein de chose dans ma chambre, puisque je pensais qu’après le bac il rentrerait chez lui et tout. Mais ma mère me dit qu’on aura pas le temps. Du coup, Nicolas rajoute « ah mais en revenant on va chez toi toute façon ? » « nan, après j’veux plus te voir ! » il sort sa moue de ptit garçon que j’kiff trop, et du coup je ressors de la voiture pour monter a l’arrière.

Et la....le moment tant attendu. Celui dont j’ai rêvé depuis trois mois. Le voyage en voiture. Bon certes, Compiègne c’est pas bordeaux...mais quand même ! Le remake de son concourt au conservatoire, sauf que la c’est pas lui qui m’emmène pour lui tenir compagnie, c’est moi qui l’emmène pour me rassurer. Mais j’ai pas le temps de stresser avec lui a coté. Je suis fascinée, et je ne pense qu’à le séduire, je ne sais même plus ou je vais. On est assis à moins d’un mètre d’un de l’autre, et il me regarde. J’adore quand je me sens belle et qu’il me regarde. D’un parce que je me sens jamais belle, et que pour ça, j’ai besoin qu’il me regarde. J’aime les mots qu’il prononce. Tous les mots qui sortent de sa bouche. J’aime sa répartie, nos dialogues qui s’enchaînent comme un scénarios, sans cassures, sans quiproquo ni mal entendu. Il rigole quand je parle, presque tout le temps, et moi aussi, il réagit toujours comme je l’attends, comme s’il savait ce que je pensais et ce que j’allais répondre a chaque fois. Nos discussions c’est comme un match de ping-pong ou la balle tombe jamais. On est jamais mal à l’aise quand on parle, on est naturel, on est pas censuré par d’appréhension de ce que pensera l’autre.  Quand je suis avec lui, je me sens mieux que nulle par ailleurs. Et je croyais avoir oublié ça.

 

En fait, je croyais ne plus jamais vivre ça, parce que : je pensais qu’il fallait de l’amour pour qu’il y’a une telle fusion entre nous. Mais non, on doit avoir des esprits compatibles tout simplement. Je croyais que c’était l’habitude d’être tous les jours ensemble qui faisait qu’on se comprenait, mais qu’au bout d’un an, on aurait tellement changé que ça serait impossible. Comme quand on retrouve une copine avec qui on se tapait des barres et qu’un an après on a plus du tout les mêmes délires.

Seulement avec nico c’est pas des délires...c’est notre façon de réagir qui se complète. Il rigole quand j’ai envie de rire, et quand on lâche un bide, on se tape pas la honte parce qu’on rigole de pas être marrant, du coup on rigole encore plus !

Et puis, je me suis demandé pourquoi il était la. Pourquoi j’avais eu besoin de lui pour jouer. Pourquoi il avait accepté. Ce qu’il pouvait penser de ça.

Soit il se posait pas trop de questions tordues comme moi (ce qui m’étonnerait fortement) il devait en être resté aux faits : il acceptait de m’accompagner pour que j’ai des points en plus parce que c’est important le bac et voila. Il m’aime bien, donc il est gentil. Point.

Y’a aussi : elle est folle de moi, c’est une excuse pour passer du temps avec moi, et comme ça me flatte d’être maté comme un dieu vivant, pourquoi s’en priver.

Si on fait une synthèse des deux, ça donne les vraies raisons pour lesquelles je lui ai demandé. 

Pour moi c’était naturel qu’il m’accompagne. Evident. On s’était connus par la musique, elle nous avait réunis, puis séparés, elle devrait nous réunir encore. C’était le fil conducteur de notre relation. Nico c’était mon amour de lycée, le bac c’était la fin du lycée, donc, l’un n’allait pas sans l’autre. Et puis je me suis souvenu de la fantaisie que je lui avait écrite et qu’il me récitait presque par cœur l’année dernière, le titre c’était (bien péteux mais symbolique) : un jour, sonate pour violon et piano.

Pourquoi ce titre, je sais pas, mais maintenant que j’y pense....

Qu’il pense innocemment que j’avais besoin de lui pour les points et qu’il faisait une bonne action, ou qu’il pense que c’était une tentative désespéré pour le voir, peut importe, il était la.

 

Donc on était en route pour Compiègne, on s’étouffait de rire tellement on faisait pitié, à force de gazages, de débilitée profonde et de ce je ne sais quoi d’insondable qui planait dans l’air.

On racontait n’importe quoi, et puis on s’est mis à écouter de la musique, il n’a pas critiqué, chose étrange. Il critique toujours ce que j’écoute, comme un reflex. Nan, au début, je chantais toute seule, il  couinait en se foutant de moi, et il fouillait dans mon sac en même temps. On doit tout les deux avoir une sombre tendance a examiner l’intimité de l’autre. Bon moi ça va, à part un tampax, quelques chewing-gums et un crayon pété, y’avais pas grand-chose. Sauf peut être un petit calepin noir ou j’avais fait un cœur et écrit a coté « besoin de lui » mais ça peut être besoin de n’importe qui, et je crois pas qu’a ce moment il ai regardé.

Soit, après il a pris mon écouteur, et on a écouté tout les deux la musique.

 

On est hyper vite arrivé a Compiègne, pas vu le temps passer. La, j’ai remarqué son bandeau noir autour du poignet. Ce truc il est mystique, je l’ai toujours connu avec. Avant je lui empruntais pas, parce que nico sans son bandeau c’était Mozart sans sa perruque. Et puis là, j’ai eu besoin d’être relié à lui. Je me suis dis qu’au moment ou je jouerais, je voulais avoir un truc a lui sur moi. Alors je lui ai fait mes yeux de cocker. « quoi quoi ? tu vas me demander un truc.... » «  hum.... » « hum ? oui...oui...quoi ? » « j’peux te l’emprunter...allééé » « hum ché pas... » « alléé.. » il l’a détaché de son poignet et il me l’a mis. « mouai mouai hein, s’appelle reviens ! »

Ma mère s’est garée devant le lycée et elle nous a largué dans la nature. Direct j’arrive, y’avait des bogoss partout. J’aime cette sensation de sentir nico derrière moi me coller au cul. Tout d’un coup il se la raconte moins...

Dans l’entrée y’avait les listes de noms et de passage. On était tout les deux collé sur les panneaux a chercher. Pi y’a un pote de l’école de musique qui est arrivé. Alors la nico qui tappe la discut, et il avait toujours mon violon sur lui. alex lui sort « tu t’es mis au violon » en me regardant du coin de l’œil.

Pi après fallait trouver la salle B09 alors y’avait des escaliers. Il me suivait, je monte, et puis j’vois des panneaux avec des flèches des salles, et puis j’le regarde, il me fait « alors ? » « hum, j’ai oublié la salle... » Il me regarde avec un air désespéré et on redescend. Ce coup ci il regarde aussi, et on remonte. Arrivé en haut je vais vers une fille qui attendait, et je lui demande la salle. Elle nous dit que c’est en bas. Je me retourne vers nico.... 

« c’est en bas...hé.... »

Regard de nico qui veut tout dire, en gros « t’es un peu relou sur les bords mais tu me fais rire »

on traverse plusieurs couloirs, et c’est marrant mais je me serais cru a la fac de Lille, j’dois être abonnée aux Charles de Gaulle.

Quand on a trouvé la salle, nico a posé le violon et s’est direct assis sur une chaise. Moi j’arrêtais pas de bouger, la tension qui commençait à monter.

« j’ai envie de pisser »

« t’as toujours envie de pisser »

« ouai mais pour de vrai là »

« ah d’habitude c’est pas vrai »

« vazy ta gueule »

Alors il s’est levé et m’a foutu une baffe.

Je me suis mise à me marrer encore. Et il m’a attrapé le bras pour le retourner comme il fait toujours, et après je me retrouve coincée dans ses bras, c’est pour ça que je me débat pas trop. Et puis une fois écrasée contre lui le bras retourné, je lui fais

« Sérieux, je commence à stresser, lâche moi j’vais aller aux chiottes »

« si tu te barre je joue pas »

« Et si j’me pisse dessus, tu joues ? »

« Dégage, vas aux chiottes ! »

donc, je m’aventure dans ce couloir sans bout, un couloir tout droit sans lumière, juste au grande fenêtre tout au bout qui éclairait tout le long. Donc je marchais face à la lumière et regardant un coup à gauche, un coup à droite voir si y’avait pas un bonhomme sur la porte.

Et puis j’arrive au bout et pas de chiotte. Du coup, je me retourne et je vois la tète à Nicolas, tout là bas au fond. Il avait du me regarder marcher tout le long du couloir. Ca ça m’a paniqué, en ombre comme ça, j’devais ressembler à un nabot...mais quand il m’a vu faire demi tour il s’est mis a rigoler. Alors j’ai accéléré pour revenir vite d’où j’étais partie et pour trouver des chiottes ailleurs ! Quand j’arrive à son niveau, je trace sans tourner la tète et il chuchote « te pisse pas dessus » en rigolant, et moi sans m’arrêter « ta gueule »

Ma mission trouvage de chiottes a aboutie à l’entrée du lycée, en plus même pas de pq, lamentable. Je suis vite retournée avec nico, parce qu’on perd pas son temps au chiotte alors qu’on a qu’une seule aprem à passer avec lui !

Il attendait toujours. Aaah quel bonheur de le voir là sans rien à faire que de m’attendre. Pour moi, avec moi...alala !

Il m’a vu arriver du bout du couloir, il m’a regardé arriver et quand j’suis arrivée à sa hauteur il me demande si je veux passer de suite. Qué ? « nan parce que les meufs ont rien à faire et donc elles te proposent de passer maintenant. » « bah pourquoi pas »

Alors déterminé, il s’empare de mon violon (faudrait qu’il pense a me le rendre...) et il frappe à la porte. Plein d’initiatives ce garçon ! Surtout quand il s’agit de vite dégager d’ici.

Je rentre dans la pièce, y’a deux femmes. En général, j’ai toujours un avis favorable vis-à-vis des jurys, même en sachant qu’ils peuvent me foutre une note pourrie. Et puis, je regarde autour de moi....c’est une salle d’svt, y’a pas de piano ici ! pfoua ! Vieux délire. Gros coup de pression, je regarde nico...il me regarde, nous nous regardons... et je m’adresse au jury

« escusez moi mais, il est venu pour jouer avec moi, et je vois qu’il y’a pas de piano... »

Elles se regardent, songeuse, et l’une des deux propose

« Je vais aller voir si y’a pas moyen de changer de salle, restez la. »

Je regarde toujours nico, on parle pas, mais on sait ce qu’on pense : ça craint putin !!!

Et puis, quelques minutes après elle revient et nous embarque dans une autre salle. nico a toujours le violon avec lui, et il embarque le pupitre, il est chargé comme un mulet mais il bronche pas...moi j’y pense même pas, je suis le jury.

Il a quand même le violon, mon sac, son gilet, ma veste et le pupitre....enfin bon.

On arrive dans une autre salle et là....y’a trois jury en plus. Ok....cool, y’en avait pas assez de deux. Soit. Mais je constate un détail sympathique : le piano est tout au fond, comme ça ça me laisse une distance sécurisante avec le jury.

Et puis, ca me donne l’impression d’etre toute seule avec nico loin de tout. Avec le pupitre, je ne vois que nico, et pas plus loin que mes notes. J’enchaîne, je tremble comme une feuille mais comme je m’y attendais, je panique pas, je me concentre sur mes notes et sur le rythme, et puis tout va bien. en fait je sais pas trop ce que je ressentais a ce moment. Mes doigts qui tremblaient, je sais plus trop...

Et puis j’ai plaqué mon accord final. Je regardais par terre, j’essayais de respirer, de pas lacher le violon... j’ai l’habitude de paniquer comme ca, alors j’ai regardé nicolas. Je l’ai fixé dans les yeux en respirant fort, il m’a sourit et il a dit « ca a été ! j’ai fais quelques fautes scuz moi » j’ai bafouillé « nan t’as été super » comme si c’était lui qui avait besoin d’entendre ca ; j’ai juste réussis a dire ce que je voulais entendre. Mais de toute façon on chuchotait, et j’écoutais pas ce qu’il disait. Je rangeais mon violon calmement, il m’a passé ses partitions, et puis il m’a poussé le bras « laisse je vais le faire » j’ai dis merci, et j’ai suivis les jury dans le couloir.

Et puis, il était derrière moi. Devant les jury, et derrière nico qui continuait de raconter des conneries, mais j’essayais de rester concentrée, parce que vu mon état il fallait mieux que je focalise bien pour pas être déstabilisée. On a remonté le couloir et on est arrivé devant la salle du début. Nico a reposé ses fesses sur sa chaise, il a tout gardé mes affaires. Je suis rentrée toute seule, et je suis allée m’asseoir. Et il me fallait un stylo. Du coup, je suis ressortie, j’ai pris mon sac des mains de nico pour trouver un stylo quelque part dedans.

Bon l’épreuve je passe....pas envie de revenir dessus...

Ecrit par nolita, à 22:06 dans la rubrique "Actualités".



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